The pact of blood
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The pact of blood

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 Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)

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Katsuya Masaki
'° Le Directeur au grand coeur ! Pancake ! °'
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Katsuya Masaki


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MessageSujet: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeJeu 28 Fév - 16:40

// Prologue \\



An 1816. Le jeune Timothé Leine se trouvait sur une balançoire accrochée à un arbre et observait les autres élèves le regarder. Depuis quelques temps, il sentait une menace peser sur lui, ainsi que sur sa famille. Pourtant, il ne pouvait expliquer ces regards suspicieux sur sa personne et en vint à être coupé de toute sa classe. Même le professeur Neil ne l'interrogeait plus. A dix-sept ans, comment comprendre ce qui arrivait ?
La journée était assez fraîche, comme si le soleil voulait lui aussi l'éviter comme la peste. Les nuages gris s'amoncelaient et l'automne prenait peu à peu sa place.
Timothé laissait ses cheveux mi-longs blonds jouer avec le léger vent. Ses prunelles vertes quittèrent les jeunes de son âge pour rencontrer celles du professeur, de l'autre côté de la fenêtre du bâtiment qui faisait la vieille école du village. Partagé, taraudé entre colère, peur et compassion, l'homme semblait réfléchir à un sujet inconnu du jeune garçon. Au moment où ce dernier voulut quitter sa balançoire, deux élèves, un garçon et une fille, s'avancèrent vers lui pour le bloquer. Sourire en coin par les deux, la demoiselle à la robe rose tâchée de terre prit la parole :
« Alors, tes parents sont des sorciers ? »
Timothé eut un mouvement de recul. Serait-ce la raison de tous ces regards sur sa famille ? Il ne répondit pas, n'ayant aucune explication à fournir. Surpris et sentant la peur arriver à grands pas en lui, il serra la mâchoire sans quitter le regard de la brunette. Elle reprit la parole, lui tournant le dos :
« De toute façon, avec une couleur de cheveux comme la tienne et des yeux aussi démoniaque, ça ne peut qu'être vrai. »
L'adolescent ayant accompagné la fille resta debout devant le jeune Leine, silencieux et effrayant. Il finit par cracher sur le garçon avant de s'en aller. Seul, Tim' se passa la manche de son vieux pull troué sur le visage, retirant le crachat de l'autre garnement, et fixa le sol boueux sans entendre la clochette du professeur Neil.

La nuit même, un lourd bruit de bois qu'on frappait avec une hache réveilla Timothé. Alarmé, il alla à sa fenêtre, drapé d'une longue chemise de nuit blanche, et regarda en contrebas. Il reconnut des élèves de l'école, le Maréchal Ferrant et quelques autres villageois. La porte de sa chambre s'ouvrit pour laisser place à sa mère, affolée.
« Venez, Timothé. Il nous faut nous hâter. »
Ils se précipitèrent dans les escaliers pour rejoindre Monsieur Leine et la jeune Flora au rez-de-chaussée.
« Allons à l'arrière cour, déclara le père.
_ Mais il n'y a aucune issu, Richard ! » S'exclama Madame Leine.
L'homme obligea sa famille à se diriger vers la porte menant au lieu dit alors que l'entrée cédait. Flora s'emmêla les pieds dans sa robe de nuit et tomba, entraînant sa mère dans sa chute. Richard et Timothé atteignirent seuls le jardin et le garçon découvrit alors un trou creusé dans la terre. Tournant des yeux horrifiés vers son père, il recula d'un pas. Son paternel usa de gestes rapides pour pousser Tim' dans la tombe inachevée, lui collant un bon poing dans le visage pour l'engourdir un peu.
« Je veux t'épargner l'horreur du massacre que nous allons vivre », fit la voix grave de l'homme qui attrapa la pelle pour recouvrir son enfant de terre alors que sa femme hurla dans la maison.
Timothé, dans le trou et encore sous l'effet du coup de Richard, ne sentit pas le danger tout de suite. Bientôt, le souffle lui manqua. Il avala de la terre et un système d'alarme s'enclencha dans son esprit. Son cœur accéléra ses battements, il essaya de bouger les membres. Il ouvrit les yeux mais cria sous la douleur, un cri étouffé. Peu à peu, la respiration lui manqua. Il entendit des coups de feu avant d'avoir des bourdonnements dans les oreilles, de tenter de nouveaux mouvements frénétiques alors que son cœur s'arrêtait petit à petit, sa bouche et ses narines pleines de terre...

Dans le village, tout le monde avait cru à de la sorcellerie par la famille Leine. Plusieurs enfants ont été gravement mutilés et retrouvés non loin de leur domaine. Seul monsieur Leine, alors, fut jugé coupable puisqu'il sortait rarement de chez lui et avait sa maison reculée de toutes les autres. La pendaison des sorciers ayant été interdite au début des années 1800, les familles des enfants firent elles-mêmes le travail. Les corps de Richard, d'Amélie et de leur fille furent enterrés dans le cimetière familial de l'arrière-cour, près de la tombe du jeune Timothé qu'aucun n'osa creuser.
La maison Leine se retrouva abandonnée, condamnée. Le village se transforma en petite ville au fur et à mesure du temps, seul un chemin en terre menait au domaine désormais à vendre. La forêt entourait la propriété, personne n'ayant entreprit de la dissoudre.
Août 2008, Georges Marshall et son fils empruntèrent le sentier en 4x4...

Si vous voulez la suite faites moi signe Wink
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>.. Andy'
** La petite louve maladroite **
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Information : Joueuse de guitare professionel, chanteuse extra, bateuse splendide.. Bon okay j'arrette x) . Bon elle joue de la guitare ( c'est pas une pro mais elle se débrouille =P), derriere cette jeune fille drole et simpatique ( ainsi que maladroite..) se cache une pitite louve pleine de tristesse ( toujours aussi maladroite.. ) au passé douloureux: elle a besoin d'affection tout de méme ! N'est elle pas craquante !? >_
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeJeu 28 Fév - 21:31

Bwaaaah ! Oui >_<

Je veux savoir la suite xD
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Katsuya Masaki
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeSam 1 Mar - 19:02

« C'est quoi ce truc ? Questionna Stan'.
_On appelle ça une maison », répondit son père alors qu'il stoppait la voiture à quelques mètres de l'entrée.
Le jeune homme de vingt ans fut le premier à poser la semelle de ses grosses chaussures cloutées sur les friches. Son regard ne quittait pas la vieille bâtisse, attiré par ces fenêtres pleines de poussière et au bois meurtri par les années. La porte semblait avoir été condamnée par des plaques de bois clouées. Autour, les oiseaux avaient déserté, ne faisant plus entendre leur chant. Stan' sentit un frisson lui parcourir le dos puis il se tourna vers son père en posant une main sur l'encadrement de sa portière dont il avait laissé la vitre ouverte.
« C'est lugubre ici. T'es sûr que c'est la bonne baraque ? »
L'homme hocha la tête en sortant à son tour du 4x4 et avisa l'endroit d'un œil expert.
« Des travaux et du ménage et elle sera comme neuve. »
Stan' soupira en passant ses doigts dans sa tignasse brune coupée au bol. Ce n'était plus très à la mode mais il trouvait que ça lui allait bien avec les yeux ébène que lui avait légué sa mère. Ses vêtements dévoilaient par contre son je-m'en-foutisme habituel : chemisier ouvert noir, sous-pull gris en dessous ainsi qu'un large pantalon noir aux poches latérales dont l'une contenait son portefeuille militaire auquel une chaîne pendait.
« Heureusement qu'on nous a laissé les meubles d'origine, bien que je sens qu'ils n'ont plus d'utilité », ironisa le garçon.
Il ouvrit le coffre de la voiture et en sortit deux sacs à dos. Son père, retenant un rire à son égard, prit deux plus gros sacs avant de marcher en direction de l'entrée. Stan' se mit en tête d'arracher les plaques de bois avec les mains. Ses fardeaux sur les épaules l'en empêchant, il donna quelques coups de ses boots avant de pouvoir pénétrer dans la demeure. Le sol grinçait sous ses pas qu'il essaya de faire légers et prudents, regardant devant lui, par terre, puis autour. Il faisait sombre, impossible de voir correctement. Ca sentait l'humidité, la poussière et autres parfums qu'il était presque insoutenable de respirer.
Derrière, monsieur Marshall étudia plutôt la porte défoncée d'un air suspicieux, remarquant l'entaille faite en son centre par un objet sûrement affûté et lourd.
« J'hallucine. On dirait que les anciens proprio' se sont barrés sans ranger. »
Stan' déclara cela après avoir posé délicatement ses sacs et allumé un briquet. Dans un coin, sur une petite table, se trouvait un vieux jeu de dames ainsi que deux verres au contenu déjà évaporé. La poussière et les toiles d'araignées avaient prit leur place mais le jeune homme remarqua que la partie n'avait pas été terminée.
L'aîné toisa son fils du regard avant de comprendre. Il remarqua alors que sur tous les cierges, les bougies s'étaient entièrement consumées. Stan' regarda son père en haussant un sourcil interrogatif. Mais l'homme lui sourit et déclara :
« On ne m'a rien dit de spécial au sujet de cette maison. Elle a été abandonnée, c'est tout. Aller, rangeons tout avant que la nuit ne tombe. »
Ils se mirent alors au travail, sans faire aucune pause. Il n'était à peine qu'onze heures du matin lorsqu' ils étaient arrivés, cela leur laissait donc plusieurs heures pour faire le grand ménage. La voiture fut aussi vidée de ses cartons.

La montre digitale de Stan' sonna dix-huit heures lorsqu'ils terminèrent les derniers coins de poussière. Georges jeta son journal du matin dans l'ancienne cheminée qu'ils avaient déblayé et mit le feu aux pages grâce au briquet de son fils. Ainsi, le salon fut éclairé et ils purent enfin admirer leur travail. Les vieux meubles dévorés par les mites avaient été poussés dehors. Le canapé, encore en assez bon état, accueillit leur fessier alors qu'ils soupirèrent de fatigue.
« J'ai faim », grommela alors Stan'.
Son père jeta un coup d'œil par une fenêtre pour annoncer :
« Nous pouvons aller en ville prendre des sandwichs. Demain, le camion de déménagement nous apportera le frigidaire et on pourra faire les courses. »
Aucun des deux ne pensa que les anciens propriétaires n'avaient pas l'électricité... Ils se levèrent d'un seul homme et Stan' récupéra les clés du 4x4 le premier.
« C'est moi qui conduit cette fois. »

Les deux Marshall passèrent plus d'une heure dans un fast-food à manger et à discuter. Stan' évitait un seul sujet : sa mère. Il n'arrivait toujours pas à se faire à sa disparition, après deux ans. C'était assez bizarre mais on se rendait compte de l'importance d'une personne seulement quand on la perdait... Ils se baladèrent au hasard des rues, bien heureux de partager ce moment ensemble puisque le jeune homme avait commencé à se replier sur lui-même dans leur ancienne maison. Georges observa son fils toute la soirée. Ce dernier ne souriait plus mais son regard parlait pour lui, heureusement.
Ils finirent par reprendre la route vers leur nouvelle demeure. Stan' était à nouveau au volant et essayait de capter quelque chose à la radio.
« Merde, même pas une seule station de radio dans ce bled paumé ! »
Il regarda alors la route en terre éclairée seulement par les phares. Cet endroit commençait à lui déplaire fortement. Pas un seul voisin, une petite ville où il n'a même pas vu une seule personne de son âge, pas de cinéma... Vide. Il avait une impression de vide atroce autour de lui. Depuis la mort de sa mère, il trouvait les choses insignifiantes et sa vie sans intérêts. Son père essayait de changer ça mais il refusait obstinément l'ouverture de sa carapace. Tout ce qu'il voulait s'était ne pas être seul tout en faisant décor, écouter sans parler.
Alors qu'il pensait à tout ça, une ombre au bord du chemin attira son attention. Soudain, un loup noir apparût sur le sentier, les crocs luisants et le regard ambre perçant. Coup de frein, temps de réaction, plus rien sur la route.
« Bon sang, qu'est-ce qu'il t'a pris ? » S'écria monsieur Marshall.
Stan' respira fortement et observa bien le chemin puis ouvrit la vitre de sa portière pour regarder vers la roue avant. Rien. Tous les rétroviseurs eurent droit à son interrogatoire visuel avant que Georges ne répète sa question plus calmement. Son fils lui répondit par une autre question :
« T'as pas vu le loup ? »
Dubitatif, son père ouvrit la bouche et ne formula pas un son pendant plusieurs secondes avant de reprendre la parole :
« Quel loup ? Je n'ai rien vu sur le chemin. Tu as sûrement dû confondre avec l'ombre d'un arbre. »
N'étalant pas le sujet, Stan' ralluma le moteur qui avait callé et reprit la route, sans rien dire de plus, sous les bâillements bientôt nombreux de son paternel.

Le lendemain, tout se déroula très vite. Le camion de déménagement, après s'être battu avec la végétation du sentier, arriva aux aurores suite à une conduite de nuit du chauffeur. Les chambres furent installées, à défaut de dormir sur des couvertures dans le salon, près de la cheminée. La cuisine fut équipée et un électricien, accompagné d'hommes de main, fit ses plans pour installer tous les branchements, prises et ampoules, plus les câbles vers la ville pour avoir de l'électricité dans ce secteur. En somme, ils n'auraient pas d'électricité avant un moment... La vieille maison devint tout de même plus vivante et plus récente. Alors que Georges aidait aux installations, Stan' prit le 4x4 pour aller en ville effectuer quelques courses. Pas encore de frigidaire mais il n'allait pas se refuser à utiliser la carte de crédit de son père, dont il connaissait le code depuis des années maintenant.
Il arrêta la voiture sur le parking du supermarché, s'empara d'un chariot et passa par les portes automatiques. Il fit tous les rayons pour être sûr de prendre le nécessaire, puis il termina aux DVD. Pendant un moment, ses yeux voyagèrent de pochette en pochette pour voir si quelque chose l'intéressait. L'une attira son attention, une pochette noire et un signe rouge sur la couverture, ainsi que le titre « Le projet Blair Witch ». Il avait déjà vu ce film, autrefois, dans son ancienne ville. Lui et ses amis l'avaient loué pour passer une nuit d'angoisse à la maison. A cette époque, sa mère était encore en vie et leur avait même fait des crêpes au sucre. Et dans l'ambiance sombre du salon, le film avait parût réel à tout le monde, il s'en souvenait. Reposant le DVD, il laissa un vague sourire étirer ses lèvres, triste et amère.
Un rire cristallin le surprit et il posa ses prunelles noires sur une rouquine et son petit ami qu'elle tenait par le bras. Vu leur allure, ils avaient chaud tous les deux... Stan' se demanda s'ils avaient son âge. C'est là que l'inconnue le remarqua et s'adressa à lui d'une voix fort sensuelle à travers le rayon :
« Hey ! J't'ai jamais vu dans l'coin. T'es nouveau ? »
Un regard vers le copain qui semblait s'intéresser au CD d'un groupe de rock et il présenta sa main à la demoiselle au débardeur rose et à la jupe bleutée lui arrivant aux genoux.
« Je m'appelle Stan'. Enfin... Stanislas est mon vrai prénom, assez ringard. »
La fille lui prit la main et, au lieu de la serrer, la tourna et la retourna pour l'examiner avec attention.
« Toi, t'es pas un bricoleur, déclara t-elle en le lâchant enfin.
_ J'avoues que non mais je me débrouille quand même, fit-il, consterné.
_ D'après la crasse que t'as sur les fringues, tu viens d'emménager. »
Stan' applaudit intérieurement et ironiquement à cette hypothèse et lui répondit par l'affirmative :
« Ouais, avec mon père dans une maison perdue à côté de la forêt.
_ Oh, la demeure Leine ! Elle est inhabitée depuis tellement longtemps. D'après ce que j'en sais, elle a été abandonnée en 1816. »
Elle appela son copain qu'elle lui présenta :
« Stan', voici Guillaume. Malgré ce qu'on peut penser de lui, il aime l'histoire et...
_ Je peux me présenter tout seul, Cat'. (Guillaume s'adressa ensuite à Stan' en lui prenant la main pour une bonne poignée.) Catherine est assez lourde quand elle s'y met. Je m'appelle donc Guillaume et je me suis intéressé de très près à la maison Leine.(Il lui lâcha la main.) L'histoire est assez bizarre d'après les quelques informations que j'ai déjà récoltées. »
Le garçon cessa de parler et laissa ainsi Stan' reprendre la parole :
« Pour ce que j'ai vu à notre arrivée hier, une partie de dames n'a jamais été achevée et deux verres de vin non rangées. Et vous me dites que personne n'a habité là-dedans depuis 1816 ? »
Les deux jeunes gens hochèrent la tête positivement avant que la rousse aux longs cheveux flamboyants ne regarde le cadran de son téléphone portable et ne déclare :
« Nous devons y aller. On se retrouvera sûrement à la rentrée scolaire. Dans cette mini ville merdique, collège et lycée sont rassemblés dans le même bâtiment à la sortie de l'agglomération. A bientôt ! »
D'un léger signe de main, les amoureux partirent en laissant Stan' sur sa soif d'en savoir plus.

Une fois rentré, Stan découvrit que les déménageurs étaient partis et que l'électricien s'afférait avec sa main-d'œuvre pour tous les branchements de la maison. Georges s'avança vers le 4x4 et s'adressa à son fils tout en ouvrant le coffre :
« Alors ? Tu as tout trouvé ?
_ Oui, faut tout ranger maintenant. J'ai rencontré une nana et un mec aussi, de mon âge, sûrement.
_ Ah, une bonne nouvelle.
_ Ce type connaît quelques trucs sur cette baraque et ça a l'air flippant. »
Son père haussa un sourcil et questionna :
« Tu crois à des fantômes ou des choses du genre ? »
Stan' secoua la tête en laissant son père rire et embarquer un carton contenant une partie des courses. Depuis la suppression des sachets plastique, c'était moins évident mais il fallait tout de même admettre que le carton était plus solide...
Le jeune homme resta à la voiture, s'y adossant tout en observant la maison. Inhabitée depuis 1816, hein ? Il devait forcément y avoir un os là-dessous. D'un seul coup, il remarqua le mouvement d'une silhouette à une fenêtre de l'étage, la chambre qu'il s'était choisi. Il cligna des yeux et ne vit que ses rideaux blancs. Soupirant, il glissa ses doigts dans sa chevelure avant de s'emparer d'un carton à son tour, avec le reste des courses, et il entra dans la maison.
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Ralf

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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeJeu 6 Mar - 15:18

La suite please !


^^
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Katsuya Masaki
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeJeu 6 Mar - 19:53

Il entendit des pas et ouvrit les yeux. La porte de sa chambre grinça et trois personnes entrèrent, l'une plus petite que les deux autres. Elles portaient chacune une longue chemise de nuit. Stan' se redressa sur son lit. D'une démarche lente et titubante, les trois inconnus s'avançaient vers lui, l'un des grands faisant le tour de sa couche. Pour le coup, il n'avait pas peur, plutôt intrigué, et sentait une légère brise glaciale lui toucher la poitrine comme si une main invisible voulait son cœur. Puis il remarqua à chacune des chemises des tâches sombres et incrustées dans le vêtement. C'est alors que la plus petite sauta sur la couette et il découvrit avec horreur un visage blanc, assez pâle pour dévoiler des vers jaunâtres jouer sous la peau. Les orbites étaient creuses, plongées dans une immensité noirâtre dont Stan' fut effrayé. Tentant de se lever, il fut aussitôt arrêté par les deux autres qui le plaquèrent sur le matelas, tout aussi morts et effroyables. Se débattant, il hurla...

... Et il ouvrit les yeux. Les cheveux collés au visage par la sueur, il regarda autour de lui. Ses oreilles bourdonnaient, sa tête lui tournait. Il avait envie de vomir... A sa porte, trois légers coups s'entendirent à peine et monsieur Marshall entra.
« Stan' ? Tu as fais un cauchemar ? »
Reprenant son souffle et luttant contre son angoisse, le jeune homme mit un temps avant de porter ses prunelles sur son père, craintif et désemparé.
« C'était tellement... réel », prononça t-il, les lèvres sèches.
Il se glissa ensuite sur le drap de manière à poser ses pieds nus sur le sol en bois frais. Encore un moment pour être totalement calmé et il avoua à Georges :
« Je ressentais la douleur et le froid, c'était hallucinant.
_ Hallucinant, oui, rétorqua son paternel, mais rendors toi. Demain, nous avons encore quelques petites bricoles à faire et il faudra préparer ta rentrée au lycée. Toi et des redoublements...
_ Hum... »
Stan' se recoucha et s'emmitoufla dans les couvertures. La nuit se termina alors sans autres problèmes.

Au lever du jour, Stan' se passa une main sur le visage en gémissant. Lui et sa manie d'oublier de fermer les volets ! Les rayons du soleil traversaient la vitre de la fenêtre et l'aveuglait. Il dû s'y prendre à plusieurs fois pour réussir à ouvrir totalement les paupières. Après quelques minutes à reprendre ses esprits, il observa la chambre. Quel cauchemar ! Rien que d'y penser, il en avait la nausée. Il préféra donc se lever et, rapidement, il enfila un jogging au-dessus de son boxer et un débardeur. Avec aisance, le jeune homme sortit de la pièce et descendit dans la cuisine. Aucun bruit ne témoignait la présence de son père. Tout de suite, il ouvrit un placard et en sortit la pâte aux noisettes qu'il aimait tant. Il attrapa le sachet de pain de mie en passant et commença à faire ses tartines sur la table. A peine eut-il prit une bouchée qu'il entendit une voix lointaine l'appeler par son prénom. Croyant qu'il s'agissait de Georges, il s'exclama :
« J'suis dans la cuisine ! »
Mais la voix répéta son prénom une dizaine de fois, se rapprochant toujours plus jusqu'à ne devenir qu'un vulgaire murmure à son oreille. Le garçon lâcha sa tartine et fit un tour complet sur lui-même. Personne. Sa tête se mit à lui tourner et il crut que ses jambes n'allaient plus supporter son poids. Il se laissa tout de même tomber sur les genoux pour éviter une catastrophe en se tenant le crâne des deux mains. Une odeur emplit ses narines, une odeur de sang, de terre et de mort. Une dure sensation d'agonie s'empara de son corps et il ne put empêcher un cri sortir de sa gorge. Alors la voix lointaine se manifesta une nouvelle fois dans ses oreilles bourdonnantes :
« Partez d'ici. »
Impossible de dire s'il s'agissait d'un garçon ou d'une fille, jeune ou moins jeune. En tout cas, tout s'arrêta d'un seul coup et Stan' se raidit par l'effroi. En effet, en se redressant, sur une casserole, le reflet d'une personne à la longue chemise crasseuse l'effraya et il se retourna pour voir derrière lui. Toujours personne. Il rechercha à nouveau le reflet mais il n'y avait plus rien. L'arrivée de son père dans la cuisine le fit sursauter.
« Et bien, tu as peur de moi maintenant ? » s'étonna l'homme.
Stan' soupira en prenant conscience du moment surréaliste qu'il venait de vivre. Ne voulant pas en parler, il nettoya et rangea tout ce qu'il avait sortit quelques minutes auparavant, jetant les tartines déjà faites, par des gestes automatiques comme s'il était devenu l'un de ces robots humains qu'on voyait dans certains films récents. L'appétit s'était envolé.
Les mains sales, son père posa une caisse à outils sur la table en soufflant. A croire qu'il venait de faire un marathon. La sueur perlait le long de ses tempes et de la crasse ornait son visage.
« Je viens de faire les derniers préparatifs au niveau de l'électricité. Il n'y a plus qu'à attendre qu'on nous balance la sauce. »
L'humour de son vieux manquait un peu de tonus et Stan' en soupira silencieusement avant de sortir de la pièce. Il se dirigea vers la porte menant à l'arrière-cour, endroit qu'il n'avait pas encore eut le temps d'aller voir. Sur la petite terrasse, il ferma les yeux et inspira profondément. La fraîcheur de la brise lui fit un bien fou. L'été s'achevait rapidement dans la région et pourtant septembre venait à peine de commencer. Il descendit les deux marches du perron et ses pieds nus touchèrent enfin l'humidité des hautes herbes faisant le jardin. La forêt entourait l'espace vert et Stan' se sentit ridicule, tout petit au milieu de cette végétation. Il continua sa route sur quelques mètres avant qu'un petit enclos n'attire son attention. Dans un petit parc que des barrières limitaient, des croix en bois étaient enfoncés dans le sol. Avec le temps, la mauvaise herbe avait fait son travail pour recouvrir beaucoup de choses. Le jeune homme entra dans ce qui était certainement un vieux cimetière. Il s'approcha de l'une des tombes pour voir graver sur le bois « Leine Flora 1808-1816 ».
« C'est pas vrai, même pas dix ans », chuchota t-il dans le silence de la nature.
Avant la mort de sa mère, il ne s'était jamais senti triste devant les décès. Là, devant la tombe de la petite Flora, il s'agenouilla, mains sur les cuisses, et parla dans le vide, s'interrogeant à voix haute :
« Comment une fille aussi jeune a pu trouver la mort ? Que s'est-il donc passé en 1816 pour que tout s'arrête aussi rapidement pour toi ? »
Il regarda les deux tombes entourant celle de Flora. D'un côté « Leine Richard 1759-1816 », de l'autre « Leine Amelie 1764-1816 ». Stan' rajouta, toujours à voix haute :
« La même année de mort, il a dû se passer quelque chose. »
Tout à coup, il sentit une présence derrière lui. Comme pour affirmer cette intuition, un grognement parvint à ses oreilles. Il se releva donc doucement et se retourna, sans gestes brusques. Là, à quelques mètres de lui, le loup noir aperçut la première nuit se tenait tête baissée, crocs découverts et griffes dans la terre, les oreilles vers l'arrière, réellement menaçant et prêt à bondir. Stan' se tendit mais le canidé ne bougea pas, grognant toujours, ses yeux couleur ambre ne cessant de le fixer avec cruauté. Après un moment à se faire face et à se regarder, l'animal arrêta de grogner et s'assied, sans quitter l'humain des yeux. Stan', quant à lui, calma un peu les battements de son cœur et réussit à articuler ces mots à l'attention du loup :
« Si tu voulais me faire du mal, tu l'aurais déjà fait, hein ? »
Le canidé se gratta derrière l'oreille avec sa patte arrière puis pencha la tête sur le côté d'une manière féline.
Ce fut cet instant que choisit Georges pour appeler son fils plusieurs fois, à sa recherche. Le jeune homme s'écria en direction de la maison :
« J'arrive ! »
Lorsqu'il voulut regarder à nouveau le loup, ce dernier avait disparu. Pas une seule trace, pas un seul bruit qui pourrait trahir sa fuite. Fronçant les sourcils, Stan' se dit que beaucoup de choses anormales se passaient ici et qu'il était le seul à les ressentir. Il ne rêvait pas ; ce loup avait été bel et bien réel et ce qu'il s'était passé dans la cuisine aussi. Restait à savoir pour le cauchemar...
Il sortit du petit cimetière et s'en alla vers la demeure qui restait un véritable mystère. Son père l'attendait dans le salon, prêt de la télévision écran plat. Avec un sourire, il appuya sur le bouton d'allumage et l'écran dévoila la première chaîne programmée.
« Nous avons l'électricité ! Ils ont fait vite, non ? »
Stan' soupira d'exaspération en secouant la tête, posant une main à son bassin et faisant un léger geste vague de l'autre.
« Tu m'as appelé pour ça ?
_ N'es-tu pas content de pouvoir regarder à nouveau la télé ?
_ Je pense qu'il y a plus intéressant pour le moment », répondit le garçon mystérieusement.
Georges fixa son fils avec incrédulité. Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? Le jeune homme s'en alla à l'étage et il se retrouva seul, s'installant sur le canapé en éteignant, à l'aide de la télécommande, le téléviseur. Prenant sa tête entre ses mains, posant les coudes sur ses cuisses, il soupira pensivement. A son annulaire gauche, l'alliance le gratta légèrement, signe qu'il était soucieux. A dire vrai, il ne savait pas comment rendre le sourire à Stanislas et cela le perturbait. Le garçon semblait vouloir rester silencieux à ce sujet et cela le rendait mal à l'aise. Lui qui avait imposé ce déménagement pour reprendre à zéro, il se rendait bien compte que Stan' se plongeait à nouveau dans ses propres rêveries...
Dans sa chambre, allongé sur le lit, le jeune brun fixait le plafond. Un bras faisant office d'oreiller, l'autre main posée à plat sur son ventre, il cogitait. Dans son esprit, tout se mélangeait à propos de cette maison, du petit cimetière et des dires de Guillaume et de Catherine. Sans compter le loup. Cet animal l'angoissait. Il semblait si agressif... Tout à l'heure, il s'était finalement calmé et Stan' en avait déduit qu'il ne lui voulait aucun mal.
Soupirant, il tourna son visage vers la fenêtre. Il n'était même pas encore midi. Que faire aujourd'hui ? Il se hissa sur ses pieds, retira son jogging et chercha un jean bleu clair, gardant son débardeur blanc. Il enfila des chaussettes de sport puis ses baskets de skatteur. Avec hâte, il attrapa son skate-board et, enfin, déboula dans le salon. Pendant un instant, il pu voir son père pensif. Mais, l'entendant, l'homme tourna la tête vers lui en souriant.
« Où vas-tu ?
_ Je vais faire un tour en ville », déclara le garçon en préférant s'en aller tout de suite afin d'éviter d'autres questions.
Une fois dehors, il emprunta le chemin habituel vers l'agglomération. La planche sous le bras, il ne cessa d'observer autour de lui afin de voir si le loup n'était pas présent. Mais rien. Il profita de sa solitude pour laisser surgir ses pensées concernant ses parents. Jamais il n'avait eu l'intention de faire du mal à son père, même intérieurement. Mais il ne pouvait rien faire pour le moment. Il n'arrivait pas à enterrer sa mère dans son esprit, se portant responsable de cette mort, et encore maintenant il se demandait pourquoi les personnes les plus bonnes devaient disparaître aussi facilement. Son père avait eu du mal à faire face à la mort de sa femme. Lui, il avait préféré se replier sur lui-même. Puisqu'elle ne travaillait pas, sa mère avait toujours été présente pour lui. Du jour au lendemain, sur un lit d'hôpital, sa vie s'arrêta. Ses yeux s'étaient fermés alors qu'il était là, à lui tenir la main dans l'espoir de la réconforter. Cette image le hantait... Son père était arrivé plus tard, ayant été retenu au boulot, et donc ne savait pas tout ce qu'il s'était passé. Il était juste au courant d'un accident de voiture.
Ce jour là, l'adolescence avait quitté le corps du garçon et il s'était refusé les faiblesses émotionnelles comme la tristesse, les pleurs, les joies, l'amour...
Il arrêta là ses souvenirs et, une fois arrivé sur le bitume, il posa le skate-board par terre et roula.

Lorsque sa montre sonna midi, il se prit un sandwich au supermarché. Il passa son après-midi en ville, espérant voir les deux amoureux de la veille.
Il ne les trouva pas et le soleil se couchait quand il reprit sa planche sous le bras pour revenir sur le sentier. Cette fois, dans l'ombre, il reconnut les deux prunelles ambre qui le fixaient. S'arrêtant un instant, Stan' sentit son cœur accélérer. Puis il fit de nouveaux pas, remarquant que le canidé le suivait, simplement. Souriant légèrement, le jeune homme ne s'inquiéta plus et rentra pour l'heure du dîner. Son paternel avait préparé les fameux spaghettis bolognaise qu'il savait si bien faire. Un bon repas, une bonne douche dont l'eau chaude n'avait toujours pas été installée (et Stan' en râla plus d'une fois) puis, enfin, une bonne couette chaude et douillette. Il entendit Georges à quelques pas de sa porte lui adresser :
« Demain, sans faute, on prépare ta rentrée. Bonne nuit. »
Et une porte se ferma. Très vite, le silence s'installa et Stan' éteignit sa lampe de chevet. Fermant les yeux, il ne remarqua pas une présence obscure sous son lit. La nuit commençait...
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** La petite louve maladroite **
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeJeu 6 Mar - 20:55

Bwaah ! C'est zarb stan me fait penser a moi ! xD sauf que moi je rigole ! ^^




suite s'il vous plait ! Aller presto presto ! xD
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Katsuya Masaki
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeVen 7 Mar - 19:51

Désolé la suite est en cour d'écrit ! >. <
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Lucrezia

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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitimeMar 11 Mar - 18:30

Wow c'est super j'adore! <3

Moi aussi je fais un signe ^.^
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MessageSujet: Re: Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD)   Petite histoire (enfin pas si petite que ça xD) Icon_minitime

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